Le journaliste Christophe Combarieu a aimé le film « Satire dans la campagne » et il le dit sur LCP. A voir sur le bateau théâtre Le Nez Rouge, quai de l’Oise, à Paris, jusqu’au 14 juillet.
BANDE ANNONCE SATIRE DANS LA CAMPAGNE
L’affiche !
Le projet du film en détail
Synopsis :
Revivez la plus folle des présidentielles en compagnie de satiristes : acteurs, humoristes, chroniqueurs, chanteurs ou dessinateurs : Daniel Prévost, François Ruffin, Christophe Alévêque, Jackie Berroyer, Gérald Dahan, Nicole Ferroni, Groland, Yvan Le Bolloc’h, Guillaume Meurice, Didier Porte, Les groupes Wampas, Zebda, des dessinateurs de presse de Charlie Hebdo, Fluide Glacial et du Canard Enchaîné…
De Coluche à Groland, en passant par Desproges ou Hara-Kiri, la critique des politiques par l’humour est une spécificité que les Français affectionnent autant qu’elle peut les choquer.
Placé sous le signe du rire, ce film démontre l’importance de la satire dans notre société. Pouls de la démocratie, cette liberté de ton et d’expression est une véritable soupape, une bouffée d’oxygène salvatrice. Découvrez une véritable campagne pour un troisième tour improbable dans lequel le rire est victorieux !
Nous retrouvons les auteurs dans leur intimité créatrice et ils s’expriment sur cette campagne électorale.
Nous voyons comment ils imaginent leurs dessins, comment ils rédigent leurs chroniques ou leurs one-man-shows. Comment l’inspiration arrive suite à un fait d’actualité.
Nous nous intéressons à leur rapport au pouvoir (pourquoi les humoristes sont-ils souvent marqués politiquement ? Peuvent-ils être militants ou engagés ?).
Jamais auparavant l’extrême droite n’a été aussi proche de sa victoire, alors que paradoxalement quasiment tout le monde s’est senti « Charlie ». Comment l’humoriste analyse-t-il tout ceci et comment le traite-t-il dans son œuvre ? Quelle influence peut-il avoir sur un vote ?
Est-ce que l’humoriste est un je-m’en-foutiste ou est-ce que la carapace du rire cache quelqu’un de sensible et d’inquiet ?
Est-il un simple bouffon du roi ou presque un « lanceur d’alerte » ?
Chacun des intervenants nous apporte des réponses à toutes ces questions. Souvent dans des lieux emblématiques : les locaux de Canal+, la Maison de la Radio, les bureaux de Fluide Glacial, celui de Tignous grâce à son épouse, la péniche de Galabru, le Café de la Gare, le Parvis des Droits de l’Homme etc…
Le film nous conduit jusqu’à l’élection présidentielle et la réaction de quelques uns de nos intervenants à propos du devenir de la satire dans ce nouveau contexte politique.
Nous souhaitons que ce film fasse rire et réfléchir.
Placé sous le signe de l’humour, ce document veut démontrer l’importance de la satire dans notre société. Pouls de la démocratie, cette liberté de ton et d’expression est une véritable soupape, une bouffée d’oxygène salvatrice pour les lecteurs, les auditeurs et les spectateurs. La satire fait également réfléchir.
La satire est une œuvre dont l’objectif est une critique moqueuse de son sujet (des individus, des organisations, des États, etc.), souvent dans l’intention de provoquer, prévenir un changement ou de porter à réfléchir. Le terme « satire » vient du latin satura qui signifie « mélange » ou « pot-pourri », en raison de la multitude de ses modes d’expression : dessin, théâtre, littérature… puis cinéma, chanson, etc. (D’où la volonté de rassembler des artistes d’horizon et de modes d’expression différents).
L’attentat terroriste qui a visé Charlie Hebdo en 2015 a réveillé un élan de solidarité sans précédent dans le monde entier et une prise de conscience générale de l’importance de la liberté d’expression. La France revendique depuis longtemps ce ton tout particulier de la « gauloiserie » : ce qui est de l’ordre d’une gaieté vive et libre.
De Coluche à Groland, en passant par Desproges ou Hara-Kiri, la critique des politiques par l’humour est une spécificité que les français affectionnent autant qu’elle peut les choquer.
Mais quel est véritablement le pouvoir de la satire aujourd’hui ?
Satire dans la campagne
Avec Max Carsel, nous préparons un documentaire de 60 mn intitulé « SATIRE DANS LA CAMPAGNE », avec pour intervenants pressentis : des auteurs et dessinateurs de presse (Charlie Hebdo, Siné Mensuel, Fluide Glacial, Canard Enchaîné), Groland, Daniel Prévost, Jean-Pierre Mocky, Yvan le Bolloc’h et Bruno Solo, Berroyer, Christophe Alévêque, Didier Porte, Guillaume Meurice, Nicole Ferroni, Sophia Aram, Liebig, Noel Godin, Didier Super, Didier Wampas, etc…
Le synopsis et la note d’intention que nous avions rédigés :
La satire est une œuvre dont l’objectif est une critique moqueuse de son sujet (des individus, des organisations, des États, etc.), souvent dans l’intention de provoquer, prévenir un changement ou de porter à réfléchir. Elle tire son nom du latin satura, qui signifie « mélange » ou « pot-pourri », en raison de la multitude de ses modes d’expression : dessin, théâtre, littérature… puis cinéma, chanson, etc.
Pouls de la démocratie, cette liberté de ton et d’expression est une véritable soupape, une bouffée d’oxygène salvatrice pour les lecteurs, les auditeurs et les spectateurs. Mais la satire fait également réfléchir ! C’est pourquoi l’attentat terroriste qui a visé Charlie Hebdo en 2015 a réveillé un élan de solidarité sans précédent dans le monde entier et une prise de conscience générale de l’importance de la liberté d’expression, vitale pour toute démocratie.
Placé sous le signe de l’humour, ce film veut démontrer l’importance de la satire dans notre société. Pour ce faire, nous suivons la campagne des présidentielles de 2017 auprès d’humoristes satiriques (dessinateurs de presse, acteurs, comédiens, chroniqueurs) impertinents mais pertinents.
La France revendique depuis longtemps ce ton tout particulier de la « gauloiserie » : ce qui est de l’ordre d’une gaieté vive et libre. De Coluche à Groland, en passant par Desproges ou Hara-Kiri, la critique des politiques par l’humour est une spécificité que les français affectionnent autant qu’elle peut les choquer. Mais quelle est véritablement le pouvoir de la satire dans la France d’ aujourd’hui ?
Peut-elle vraiment s’inviter dans le débat public et l’élection présidentielle ?